L’échographie en anesthésie

Apparue au début des années 2000, la diffusion de la pratique de l’échographie en anesthésie locorégionale a été fulgurante et a très vite supplanté la neurostimulation.

Le contexte particulier du bloc opératoire a rapidement amené les industriels à adapter leur offre avec des produits de plus en plus dédiés.

Les matériels portables de par leur faible encombrement et leur autonomie sur batterie ont vite rencontré un grand succès.

Mais avec l’expérience et l’élargissement à des blocs de plus en plus pointus, la demande a évolué vers des performances de plus en plus élevées.

Et cela notamment en termes de qualité d’image, car même si les logiciels de guidage ou de repérage de l’aiguille sont devenus légions, la visualisation reste le paramètre et donc la qualité d’image.

Je suis anesthésiste et je souhaite avoir des informations concernant :

À noter que les fabricants d’aiguilles se sont également adaptés en fournissant des aiguilles de plus en plus échogènes afin de favoriser leur visualisation.

Désormais l’utilisation de l’échographe s’est étendue bien au-delà des blocs nerveux avec notamment une utilisation de plus en plus fréquente dans l’appréciation de la fonction cardiaque.

Enfin le format tablette prend peu à peu le pas sur les échographes portables traditionnels. Son ergonomie plus adaptée au nettoyage, ou la facilité d’utilisation rendue possible par l’interface tactile de l’écran convainquent les utilisateurs si la qualité d’image est au rendez-vous.

Ainsi GE Healthcare a développé sa toute nouvelle gamme Venue en écoutant les retours de ses nombreux clients.

Cerise sur le gâteau, ces produits de dernière génération disposent d’algorithmes avancés de type AI « machine learning » qui facilitent grandement leur utilisation dans des contextes critiques en proposant des quantifications automatiques.

Vous l’aurez compris, l’échographie en anesthésie, c’est ici.

Vous souhaitez vous équiper ou vous former ?